Derrière Ré la blanche (surnom de l’île de ré) se cache l’histoire d’une île du littoral atlantique. Un espace fragile où l’homme et le milieu naturel ont toujours entretenu des relations uniques. Qu’elles soient rudes ou prospères ces relations ont toujours été sensibles…
L’habitat rétais recense quatre principaux types de bâti. Cet habitat bénéficie d’une protection car il est le seul garant des coutumes, des contraintes climatiques et des activités économiques de l’homme.
Dès la période du moyen âge Ré fût considéré comme l’île du vin et du sel. En effet, dans sa partie nord ouest, près de 2 000 hectares de marais salants permettaient de récolter environ 30 000 tonnes de sel. Ce chiffre résulte des bonnes années de récolte.
Demeures ou maisons, urbaines ou rurales, toutes les constructions s’inscrivent aussi bien par la couleur de leurs façades que par la proportion des volumes, dans une architecture traditionnelle qui impose la singularité et la qualité du paysage rétais.
Incontournablement, tradition et modernité se rencontrent sans forcément menacer le patrimoine et son unité. Ici et là, les maisons des vignerons, vieilles d’un siècle et plus, sont restaurées, intégrant l’esprit du corps déjà existant de la maison grâce à l’usage de techniques et de matériaux appropriés.
Entre mer et campagne, l’esprit île de ré tient à peu de choses… Pour l’extérieur donc, couleur et taille des constructions, mais aussi, pente des toits et blancheur des murs… L’intérieur lui, varie en fonction des goûts et passions de chaque propriétaire. Il conservera malgré tout des transformations parfois importantes. La majorité de ces demeures gardent l’esprit des maisons anciennes de type maison de saunier, de pêcheur ou de vigneron. Cet intérieur se peuplera d’objets chinés, détournés de leur usage et de clins d’œil maritimes qui tous participeront, au dehors comme au-dedans, au sentiment d’habiter une ile pas comme les autres.
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